Malgré des discussion quant à un changement de site pour les épreuves de basket et tir, cela ne se fera pas et les deux disciplines resteront sur les lieux déjà retenus (Parc des Expos de la Porte de Versailles pour le basket et La Courneuve pour le tir).
Malgré les tergiversations sur les sites retenus pour les épreuves de basket et de tir, les changements attendus n’auront pas lieu pour des raisons complètement opposées. Le statu quo devrait finalement prévaloir. Le site du tir, le terrain des Essences à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), laissait planer un doute quant à une potentielle extension pour les JO 2024. Il n’en sera rien, comme l’a communiqué le COJO (Comité d’organisation des Jeux Olympiques).
« Une réunion de travail s’est tenue mercredi à l’initiative du DIJOP (délégué interministériel aux Jeux Olympiques et Paralympiques, Michel Cadot) avec l’ensemble des parties prenantes sur les épreuves de tir des JOP de 2024 sur le site du terrain des Essences. Cette réunion a permis de faire le point sur le dossier et sur le calendrier de travail. Les participants ont convenu de se revoir régulièrement sur le sujet » précise Paris 2024. Si l’hypothèse d’organiser les épreuves de tir à Châteauroux a un temps été évoquée, celle-ci a été écartée.
La FIBA réclame des changements
La salle retenue par le Comité de Paris 2024 pour les matchs de basket la première semaine, à savoir la salle du hall 6 du Parc des Expositions de la Porte de Versailles, ne convient pas à la FIBA (Fédération Internationale de Basketball). Et ce malgré le changement de salle pour la deuxième semaine de compétition (Accor Hotel Arena). L’instance internationale s’interroge quant aux critères techniques et de standing de l’enceinte retenue pour accueillir le basket lors des prochains JO. Cette dernière aurait préféré élire domicile à l’Arena de la Porte de la Chapelle, à défaut de pouvoir être à Bercy durant la quinzaine.
Comme le révèle L’Equipe, le COJO, en étroite collaboration avec la FIBA, tâche de répondre aux exigences de la Fédération internationale afin de la satisfaire. Par ailleurs, l’institution devrait échanger autour de la question à la fin du mois de mars. A noter également que le Comité d’organisation des Jeux Olympiques ne planche par sur un plan de secours, comme l’indiquent nos confrères.
Pierrick Bastide
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