Après un départ canon, l’équipe de Dylan Rocher a vite achevé le travail face à Quintais (13-2). En seulement 5 mènes, l’affaire est pliée et Rocher est en finale.
Une victoire éclair. Face aux mastodontes de la pétanque que représente l’équipe Quintais, « Dydy la foudre » a abattu l’orage (13-2). En mode tornade, Dylan Rocher, Stéphane Robineau et Simon Cortes ont dominé la partie de bout en bout, pour s’offrir une finale à Thaon-les-Vosges. Cinq mènes et à peine une trentaine de minutes de jeu : c’est tout ce dont les représentants de Fréjus ont eu besoin pour surclasser Philippe Quintais, Philippe Suchaud et Emmanuel Lucien. Des joueurs expérimentés qui ont plié sous la pression et la force de frappe de leurs adversaires.
Départ canon
L’équipe Quintais démarre mal cette partie. Tirs manqués et points approximatifs, les joueurs au polo gris sont en-dedans. Au contraire, Rocher et Cortes font parler la foudre, tandis que Robineau assure au point. Très vite, la différence se fait à la table de marque. Après une mène d’ouverture de quatre points, l’équipe Rocher prend le large, sans regarder dans le rétroviseur. Une nouvelle mène de cinq points, et l’écart fait mal (9-0). Sur la troisième mène, alors que l’équipe Quintais retrouve de l’allant, Rocher ne baisse pas la cadence : l’« Albatros » claque un carreau destructeur. Si le Roi Quintais parvient à faire bouger le bouchon, le verdict est le même : Rocher empoche la mène. Deux points cette fois-ci, et un écart qui ressemble à une montagne (11-0).
Triomphe éclair
Avec son expérience et ses titres à la pelle, ces joueurs en ont vue d’autre. Pas de quoi démoraliser la triplette Quintais : Lucien réussit le tir crucial avec la dernière boule en main, pour enfin ouvrir le compteur de son équipe (11-2). Dans une mène mal embarquée, les deux Philippe s’essayent tous les deux à sortir le bouchon. Sans succès, et Rocher termine la partie sur un carreau (13-2). Une victoire nette, qui pourrait avoir son importance au général. Avec cette finale sur cette 4e étape, Rocher est certain de revenir à hauteur de l’Italie. En cas de victoire face à Sarrio, il prendrait seul les commande du classement des Masters…