Ce dimanche 16 avril se déroule la cinquième édition du Rennes Urban Trail. Plus de 10 000 coureurs s’élanceront dans les rues emblématiques et monuments atypiques de la ville.
“Une traversée unique de la capitale en Bretagne”. Le slogan intrigue, interroge, percute. La raison ? Le parcours. Alliant marches, montées, rues, et surtout lieux et monuments historiques et significatifs de Rennes. L’Urban Trail de la ville bretonne fait son retour ce dimanche 16 avril. Et de quelle manière. 10 000 coureurs sont attendus sur les trois distances proposées (7, 14 et 24 km), faisant de lui le premier urban trail de France.
Originalité…
Pour cette nouvelle édition, les parcours ont été modifiés avec 20 nouveaux lieux. “Plusieurs grandes premières cette année avec la traversée de l’Hôtel Dieu, Saint-Vincent Providence, la Grande Halle Oberthur. Sans oublier les monuments incontournables, comme l’Hôtel de Ville, le Parc du Thabor ou encore Les Champs Libres, que nous avions déjà eu le plaisir de découvrir lors de nos précédentes courses”, présente Daniel Jeulin, le fondateur de l’événement. La maire de Rennes se réjouit de retrouver cette course, devenue aujourd’hui célèbre dans le calendrier des manifestations de la capitale d’Ille-et-Vilaine. “La valorisation du patrimoine rennais par le passage dans un certain nombre de lieux insolites ou emblématiques en font une épreuve hors norme. Dans et autour de la course, on y ressent une atmosphère joyeuse tout à fait singulière”, commente Nathalie Appéré.
Pour que chaque participant puisse trouver chaussure à son pied, l’organisation a choisi de proposer trois circuits de 7, 14 et 24 km. Certaines portions de parcours s’annoncent particulièrement épuisantes, comme l’ascension des 350 marches de l’espace The Whoorks dans l’Urban Quartz.
… et solidarité
Les 10 000 participants courront pour la bonne cause. “Nous poursuivrons notre œuvre de mécénat en remettant, pour chaque inscription à l’Urban Trail, deux euros à la fondation Bretagne Atlantique Ambition qui aide la recherche médicale en matière de neurosciences”, souligne Daniel Jeulin. Depuis la première édition, plus de 57 000 euros ont ainsi été reversés pour soutenir les études de traitements au sujet des maladies du cerveau et du système nerveux central.