Mis en place depuis plusieurs années par le CROS Auvergne-Rhône-Alpes, les Camps Olympiques permettent à des centaines de jeunes de la région de s’essayer à des activités sportives tout en découvrant les valeurs de l’olympisme.
Très actif sur tous les fronts, le CROS Auvergne-Rhône-Alpes est un acteur clé du sport dans la région. Il s’adresse ainsi à tous les publics… y compris aux plus jeunes. C’est avec cette volonté de parler à la jeunesse que le CROS a mis en place, depuis plusieurs années, les Camps Olympiques. « Les Camps Olympiques reposent sur des principes forts, comme le fait que le sport est un vecteur de cohésion, de motivation et de culture générale. Ces Camps ont pour but de transmettre les valeurs de l’olympisme aux plus jeunes à quelques mois de Paris 2024 », détaille Camille Jacquot, Service Civique dédiée à la promotion de l’Olympisme au sein du CROS Auvergne-Rhône-Alpes.
Carabines laser, jeu de l’oie olympique, défilé des drapeaux, fabrication de flamme, partage autour des valeurs du sport et de l’Olympisme et découverte des massifs de la Région Auvergne-Rhône Alpes : autant d’activités au programme de Camps Olympiques qui ont séduit des centaines de jeunes élèves. Ces Camps sont d’ailleurs organisés en partenariat avec le Comité Régional AuRA de l’Union Sportive de l’Enseignement du Premier Degré (USEP).
Un signe fort à l’approche de Paris 2024
Du côté de Grenoble notamment, le Camp Olympique organisé au cœur de la Semaine Olympique et Paralympique a été une véritable réussite. Ce dispositif s’adresse à des élèves de cycle 3 (CM1 et CM2) des académies de Clermont-Ferrand, Grenoble et Lyon. En tout, ce sont trois Camps Olympiques qui ont été mis en place, un par académie. Sur chacun des camps, le CROS a joué un rôle essentiel, particulièrement lors de l’animation d’ateliers sur l’ensemble de la semaine de chaque camp.
A un peu plus d’un an du coup d’envoi des Jeux de Paris 2024, le symbole est extrêmement fort. « C’est un événement idéal pour intéresser très tôt les enfants au sport et aux valeurs capitales que sont celles de l’olympisme », souligne Camille Jacquot. « Cela permet également d’attirer l’attention des parents d’élèves, qui sont parfois éloignés de ce domaine et qui ne voient pas l’intérêt pour leurs enfants de pratiquer une discipline sportive. » Des Camps Olympiques qui seront bien évidemment de retour en 2024.