Le Triathlon des Roses, organisé par la Fondation ARC, va bientôt vivre une dixième édition riche en événements.
Le Triathlon des Roses qui, comme son nom l’indique, regroupe 3 disciplines sportives se fixe 3 grands objectifs : collecter des fonds pour faire avancer la recherche sur les cancers du sein ; informer sur les progrès réalisés dans ce domaine ; sensibiliser sur les bienfaits du sport en matière de santé.
Cette épreuve solidaire dédiée aux femmes, dont l’objectif est de lever des fonds pour la recherche sur les cancers du sein, prend chaque année un peu plus d’ampleur, rassemblant à chaque édition de formidables énergies. Cette fois, 5 villes participent à l’événement : Paris, le samedi 16 septembre avec le Stade Français ; Toulouse, le dimanche 24 septembre avec le Toulouse Triathlon ; Lyon, le dimanche 8 octobre avec le Lugdunum Triathlon Club ; Antibes avec Antibes Triathlon et Nantes avec le Triathlon Club Nantais, le dimanche 22 octobre.
5 villes au rendez-vous
Près de 1800 participantes et participants sont attendus sur la ligne de départ, prêts à se défier pour la bonne cause sur un parcours adapté à tous les publics enchaînant natation, cyclisme et course à pied. Par ailleurs, pour la 2e année consécutive, un Triathlon des Roses en version connectée permettra à toutes les bonnes volontés de se mobiliser partout en France.
Même s’il s’agit d’une compétition officielle, chronométrée, le Triathlon des Roses demeure avant tout une course solidaire et festive. Les distances que doivent parcourir les participantes – c’est avant tout une épreuve dédiée aux femmes – sont adaptées à tous les publics et à toutes les conditions physiques : 100 m ou 200 m en natation, moins de 10 km à vélo, de 2 à 5 km de course à pied selon les villes. Les inscrites peuvent concourir à titre individuel ou en équipes relais de 2 ou 3 personnes (auquel cas les hommes sont les bienvenus). Pour s’aligner sur la ligne de départ, il suffit de collecter 100 à 300 € minimum en individuel et 250 à 500 € minimum pour les relais. Les montants de collecte minimum varient en effet selon les villes.