Du 17 au 22 octobre, Loutraki (Grèce) accueille les championnats du monde vétérans de lutte. Avec de sacrées ambitions pour l’équipe de France.
Les vétérans français peuvent-ils remettre ça ? L’édition précédente des Mondiaux a été une réussite pour les Tricolores, qui ont remporté un total impressionnant de 11 médailles. Parmi ces distinctions, deux étaient en or, décrochées par Djamel Ainaoui et Vadim Guigolaev. Dragos Ivanov a ajouté une médaille d’argent à la collection, tandis que huit autres valeureux lutteurs ont décroché la médaille de bronze : Murshud Mammadov, Eric Buisson, Amar Assaoui, Frédéric Galixte, Frédéric Paul, Abdelhafid Benomari, Karim Hammiche et Philippe-Jean Prairie.
18 athlètes pour s’affirmer comme les rois du monde
Cette année, le programme de cette compétition s’articulera autour de deux styles majeurs de la lutte : la lutte libre et la lutte gréco-romaine. Du 17 au 19 octobre, les premiers jours seront dédiés à la lutte libre. Ensuite, du 20 au 22 octobre, l’arène vibrera au rythme de la lutte gréco-romaine, caractérisée par sa rigueur technique et ses règles strictes.
Une solide délégation fera le déplacement en quête du titre mondial, composée d’Alexandre Meyer, Olivier Ramiro, Michael Van de Walle, Nordine Khiter, Eric Buisson, Wilfried Sany, Eric Herzog, Fesal Djerraz, Radjabo Omar, Nabil El Harde, Filipe Da Silva, Anis Gharbi, Ibrahim Zengin, Amar Assaoui, Djamel Aichour, Frédéric Calixte, Philippe Maupin, David Desmons, Christophe Bourdassol, Karim Hammiche, Roger Papotto et Frédéric Paul. Ces athlètes, animés par la passion et la détermination, chercheront à ajouter de nouvelles médailles à la collection nationale. Pour inscrire leur nom dans les annales de la lutte vétérane.