Les quarts de finaliste de la 31e édition du Challenger de Cherbourg sont connus. Trois français sont toujours en lice.
Ils sont désormais plus que huit. Et il y aura forcément un français en demi-finale ! Le Challenger de Cherbourg, disputé depuis le 11 février, a connu de nombreuses surprises. Le tournoi offre surtout des affiches de quart de finale relevées avec les joueurs restants.
Michael Geerts et Mark Lajal (11h)
Mark Lajal a jusqu’ici remporté tous ses matchs contre des joueurs tricolores, à savoir Alexis Gautier et Lucas Poullain. Mais cette fois-ci, il n’affrontera pas un autre français, mais le Belge Michael Geerts en quart. L’Estonien possède une légère avance sur son adversaire au classement mondial (201e contre 229e). Le match devrait être serré entre les deux hommes.
Mattéo Martineau et Alibek Kachmazov (16h30)
Le Français Mattéo Martineau a créé la sensation en battant sèchement et rapidement – en moins d’une heure – Benoît Paire la veille (1-6, 4-6). Le joueur de 34 ans avait pourtant pour objectif de remporter le tournoi cherbourgeois afin de revenir dans le top 100 mondial. L’Angevin de 25 ans, 218e mondial, poursuit donc son épopée dans La Manche et disputera son quart au Russe Alibek Kachmazov (262e). Le tricolore devrait logiquement rejoindre le carré final.
Titouan Droguet et Quentin Halys (Pas avant 18h30)
Le voilà le choc 100% français ! Finaliste perdant face à l’italien Giulio Zeppieri en 2023, Titouan Droguet est en bonne position pour retrouver la finale du Challenger. Pour la rejoindre, le 154e mondial doit battre son compatriote Quentin Halys (111e), le meilleur tricolore au ranking international encore engagé. Avantage au natif de Bondy dans cette rencontre.
Nikolay Vylegzhanin et Zsombor Piros
La plus grande surprise de cette édition est sans conteste Nikolay Vylegzhanin. Le Russe, 557e joueur mondial, a fait tomber le Normand Jules Marie (220e). Il disputera son quart contre le Hongrois Zsombor Piros. Tête d’affiche numéro 4 du tournoi (128e), il fait office de grand favori sur le papier. Mais un exploit peut encore arriver…