L’Ekiden, une course organisée par le Stade Français, se déroulera ce 23 juin. L’occasion pour Raphaël Rebert, directeur du réseau Grand Public d’Ile-de-France du CIC, de revenir sur le partenariat « historique » entre les deux structures. De la course, au rugby, jusqu’une mentalité d’entreprise, il explique à quel point le sport est important pour le CIC.
Pourquoi être partenaire de l’Ekiden ?
Il y a plusieurs sujets qui expliquent ce partenariat. Tout d’abord, CIC est très intégré sur son territoire. L’Ekiden est une belle façon de promouvoir le sport ; c’est un moment de convivialité. CIC et le Stade Français se suivent sur de multiples valeurs. Enfin, nous sommes aussi partenaires de la grande cause nationale de cette année : bouger 30 minutes par jour !
Dans quelle mesure vous investissez-vous dans la course ?
Nous offrons la possibilité à des collaborateurs de participer à la course. Il y a aussi un fort intérêt à communiquer pour nous. C’est une belle opportunité pour nous, qui plus est dans cette superbe enceinte qu’est Jean Bouin !
Qu’est-ce que ce partenariat apporte à CIC ?
Avec l’Ekiden, nous donnons l’opportunité à chacun de courir en fonction de ses capacités. L’image du Stade Français, qui porte de belles valeurs, est super pour CIC. Et j’insiste sur ce sujet ! Cela permet à CIC de faire participer des clients et des collaborateurs à la course. Il y a donc un lien avec mon ambition de favoriser le sport au sein de notre groupe.
Nous allons fêter la troisième édition de l’Ekiden. Les relations avec le Stade Français se sont-elles créées en même temps que la première édition de la course ?
J’ai envie de dire que c’est un partenariat historique. Même s’il ne date que de 2018, c’est comme ça que je le ressens. Il est ancré dans notre histoire. À son origine, le partenariat était voué à supporter l’équipe professionnelle masculine. Nous sommes allés encore plus loin en donnant la possibilité à nos collaborateurs et clients d’assister à des matchs.
Et maintenant, quelle forme prend ce partenariat avec le Stade Français ?
C’est un partenariat en profondeur. On a cette opportunité de pouvoir inviter des personnes en tant que participant ou spectateur sur l’Ekiden. On va même encore plus loin avec le Stade Français en offrant des stages à des sportifs de haut-niveau qui souhaitent poursuivre leurs études. C’est super pour nous parce que les joueurs peuvent continuer leur apprentissage et nos équipes constatent par elles-mêmes que les valeurs du sportif collent à notre politique d’entreprise.
L’Ekiden est-il le seul projet sportif que vous supportez ?
Il y a un lien fort entre le sport et CIC. Outre l’Ekiden, nous soutenons des sportifs via le pacte de performance. C’est le cas du marcheur Aurélien Quinion. Le Stade Français n’est pas le seul club, ce n’est pas la seule démarche sportive que nous soutenons ! C’est une façon pour nous de pousser les gens à faire du sport. Thomas Lombard s’entend très bien avec nous sur ce sujet.
Comment espérez-vous voir évoluer ce partenariat par la suite ?
Ce partenariat est ancré et intelligent, l’idée est d’aller plus loin pour accompagner les salariés du Stade Français. Nous avons aussi un rapport à la formation auquel nous sommes très attachés, Thomas Lombard et moi. Chez nous, à CIC, 8,5% de la masse salariale est vouée à la formation. On sort des sentiers battus avec ce partenariat !