La 7e édition du swimrun de Royan se déroulera le 28 septembre prochain sur la côte de Beauté. Trois formats sont proposés pour continuer d’attirer des swimrunners. L’organisateur, Jean-Christophe Meriguet répond à nos questions.
Comment faites-vous pour vous renouveler et proposer des choses nouvelles aux athlètes ?
Il y a 3 ans nous proposions un nouveau parcours S, cette année nous avons réfléchi aux différentes remarques des athlètes qui trouvaient le L trop grand et le S trop court. L’idée est donc venue de créer une troisième épreuve, le M. Il était également temps de changer de parcours sur le L. Nous sommes donc allés voir du côté de la Palmyre où le terrain de jeu est également exceptionnel.
S, M et L, quel est le parcours qui séduit le plus ?
Les trois parcours ont fait le plein mais le M, tout particulièrement, a connu un vif engouement. Le S a séduit aussi car nous avons diminué les distances et les sportifs qui n’osaient pas franchir le pas du SwimRun les années précédentes ont été séduits. Il est à noter qu’il y aura plus de femmes que d’hommes sur le format S.
L’an dernier vous aviez des difficultés à remplir le L. Cette année comment ça s’est passé ?
Le L a été complet avant l’été, le fait de proposer un parcours différent a sûrement joué dans la dynamique des inscriptions et les athlètes qui ont « goûté » au SwimRun Royan ont tendance à revenir. Et finalement le succès du format M n’a pas pénalisé le L.
530 inscrits. C’est un record, comment l’expliquez-vous ?
La raison principale est bien sûr liée à la création de la troisième épreuve. Mais je crois aussi que notre SwimRun commence à avoir une certaine notoriété. Entre le parcours fabuleux que nous offre la Côte de Beauté et les prestations « premium » de l’épreuve, le bouche à oreille fonctionne.
Qui seront les têtes d’affiches cette année ?
Pierre Massonneau et Fabien Besançon sur le L en équipe. Frédéric Pierra, Frédéric Fachin, Paul Etaix, Hugo Ripoche sur le L en individuel. Sur le M en équipe, William Bouron et Julia Tourneur. Julien Gillon et Noah Gillon sur le M en individuel.
Le weekend qui précède la ville accueille le triathlon. Royan est une terre de sport, pourquoi ?
Effectivement la ville de Royan a une vraie politique de développement du sport. Elle soutient financièrement les clubs et associations sportives et en tant qu’organisateur, nous savons pouvoir compter sur son soutien logistique entre autres. Si Royan a d’ailleurs obtenu le label « Ville Active et Sportive » ce n’est pas un hasard.