À la veille du coup d’envoi de la Coupe Icare, Pascal Campbell-Jones, pilote de paramoteur et coordinateur d’Icarobatix, s’est confié à SPORTMAG. Entretien…
Pascal Campbell-Jones, en tant que coordinateur d’Icarobatix, que représente pour vous la Coupe Icare ?
C’est le moment dans l’année où la crème de la crème des pilotes se retrouve et vole ensemble, qui plus dans un endroit très spectaculaire. Ce n’est pas souvent que ça arrive, c’est pour cela que la Coupe Icare est un événement important, magique et incontournable. Pour nous, qui pratiquons le Parabatix, c’est clairement l’endroit le plus spectaculaire. Cela nous permet également de rencontrer des gens du monde entier, c’est super pour nous.
La Coupe Icare se prépare-t-elle longtemps à l’avance ?
Oui, c’est entre six mois et un an de préparation. Nous faisons des entraînements plusieurs fois dans l’année pour être performant. Ce n’est pas un gros événement comme on peut en faire à Dubaï ou aux États-Unis, mais il est clairement incontournable.
C’est également un moyen de faire découvrir votre discipline à tous ceux qui ne la connaîtraient pas…
Oui. Parabatix est implanté depuis déjà plusieurs années, mais c’est clair que cela donne une visibilité supplémentaire pour un public qui ne nous connaît pas forcément. C’est également positif pour la Coupe Icare d’avoir une activité spectaculaire comme le Parabatix.
Que peut-on vous souhaiter pour cette nouvelle édition de la Coupe Icare ?
Déjà, qu’il y ait un maximum de spectateurs pour voir cette course. Ce sera comme du moto-cross, mais à vingt mètres au-dessus du public ! Voir les spectateurs venir et nous soutenir en masse, c’est ce qui nous porte. Et puis on espère évidemment que la météo sera agréable pour que l’on puisse profiter pleinement de l’événement.
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