Basket : La passe de quatre pour Orléans ? 

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Ce mardi (20h), les basketteurs orléanais affrontent l’équipe de Denain sur le parquet de CO’Met dans le cadre de la 28e journée de Pro B. L’objectif ? Conserver leur huitième place, synonyme d’accession en play-offs. 

Garder la même dynamique et viser le milieu de tableau. Ce sont les deux souhaits de l’Orléans Loiret Basket. Le club n’a d’yeux que pour les play-offs, à un mois de la fin de la saison régulière de Pro B. Ce soir, les Orléanais tenteront de faire un pas supplémentaire vers les phases finales avec la réception de Denain, dixième du championnat.

Une rencontre piégeuse 

Victorieux lors de ses trois derniers matchs (La Rochelle, Angers et Saint-Vallier), l’OLB veut prolonger sa série d’invincibilité. Jamais, le club orléanais n’a réussi à empiler quatre succès de rang cette saison. “On n’aura plus d’autres opportunités de réussir cela, il ne faut pas la laisser passer”, a commenté Germain Castano, le coach, à La République du Centre. Si ces joueurs parviennent à l’emporter, une cinquième victoire leur tendra les bras. En effet, les Loirétains joueront, à nouveau à domicile, ce 15 avril, contre Aix-Maurienne (seizième). Et autant dire que tous les points seront précieux pour accrocher les play-offs. Actuellement à la dernière position qualificative (huitième), les Orléanais n’ont pas de marge d’erreur. Ils ne comptent qu’une victoire de plus par rapport à Gries-Souffel et Angers, respectivement neuvième et dixième.

L’équipe de Denain peut créer la surprise sur le parquet de CO’Met. En octobre dernier, les Denaisiens s’étaient imposés 81-72. Une défaite qui reste amère dans la mémoire de l’entraîneur de l’OLB. “On menait de 13 points au début du quatrième quart-temps, avant de s’écrouler. Je l’ai encore en travers de la gorge, confie Germain Castano. C’est ce genre de match qui nous a fait faire cette saison en dents de scie”. Onzièmes au classement, les Dragons ont été impressionnants face à Chalon-sur-Saône, dauphin du championnat, le 7 avril dernier (79-74). Raison de plus pour se méfier.

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