Au bout d’un mois de novembre difficile, l’ASVEL a gagné a battu Pau dimanche, pour mettre fin à une série de cinq matchs sans la moindre victoire.
Enfin. Après trois semaines et cinq rencontres disputées, l’ASVEL a enfin renoué avec la victoire. Ce dimanche 27 novembre, les hommes de TJ Parker ont assuré l’essentiel face à l’Elan Béarnais (91-79). Dans les pas d’Amine Noua (21 points à 3/4 de loin, et 5 rebonds), les Rhodaniens ont maîtrisé leur sujet. Finie la série noire, et le compteur de défaite qui ne faisait que grimper depuis le 6 novembre dernier, depuis ce dernier succès face à Fos-sur-Mer. Désormais, Lyon-Villeurbanne regarde vers la suite, en particulier sur la scène européenne.
Cinq revers de rang
En Euroleague, l’ASVEL est la peine. Surclassés par le Zalgiris Kaunas à l’Astroballe, les quadruples champions de France ont ensuite enchaîné les revers d’un souffle. D’abord face à l’Etoile Rouge de Belgrade (71-67), puis face au Bayern Munich (74-75), avant une nouvelle défaite sur le parquet du Panathinaïkos. Désormais, David Lighty et les siens sont derniers ex-aequo de la reine des compétitions européennes. Par-dessus le marché, la défaite à Dijon et sa bande d’affamés (95-90) n’a rien arrangé. Villeurbanne pointe ainsi à la sixième place de Betclic Elite, avec un bilan tout juste positif (6 victoires pour 4 défaites).
Pas de quoi s’inquiéter ?
Pourtant, il n’y a pas de quoi s’inquiéter d’après Tony Parker, président du club, qui a réagi auprès du Progrès et de l’AFP : « pour moi, il n’y a pas de panique à avoir. J’ai du mal à comprendre la réaction des gens ». S’il comprend les attentes autour de l’équipe, il considère que ce n’est qu’une question de temps. « Quand vous êtes l’ASVEL, il faut s’exprimer. Pour moi, il y a zéro panique. L’équipe doit continuer à progresser et nous devons finir les matches ». Ce sera le minimum à accomplir jeudi prochain (20h) pour accueillir Monaco et son casting XXL.