Le Paris Basket s’est imposé contre Boulogne-Levallois lors de la 16ème journée de championnat. Ce match a également été marqué par les débuts de la recrue parisienne Axel Toupane.
Axel Toupane a fait ses grands débuts en Betclic Elite ce samedi 15 janvier. Dans une Halle Georges Carpentier en ébullition pour le derby contre le voisin boulonnais, l’ancien joueur NBA a joué ses premières minutes sous le maillot parisien. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’est vite acclimaté.
Un Toupane « on-fire » pour sa première
Il fallait réagir pour les Parisiens. Sèchement battus à Limoges la semaine passée, ils avaient à cœur de se rattraper, d’autant plus qu’il s’agissait du premier derby de l’histoire du club. Dans une ambiance folle malgré les restrictions sanitaires, le Paris-Basket profitait de l’occasion pour présenter à ses supporters sa nouvelle recrue Axel Toupane. Ils n’ont pas été déçus. L’ancien des Bucks pouvait difficilement faire mieux. Meilleur marqueur de son équipe avec 16 points en 28 minutes, il s’est aussi distingué avec 6 rebonds et 3 passes décisives. Bien soutenu par son pivot Kyle O’Quinn et ses 18 points et 10 rebonds, la recrue a été un grand artisan de cette belle victoire parisienne contre les premiers du championnat. De quoi leur redonner un peu d’optimisme, eux qui n’arrivent pas à s’éloigner de la zone rouge.
Reprise délicate pour Boulogne
Vincent Collet et ses hommes n’ont toujours pas gagné en 2022. 3 défaites en 3 matchs toutes compétitions confondues. C’est la première fois que cela arrive pour les Boulonnais depuis le début de la saison. Rien d’alarmant pour l’instant, ils restent leaders de Betclic Elite avec deux victoires d’avance sur Monaco et trois sur Le Mans. Mais il ne faudrait pas que la frustration commence à s’installer. En effet, sur les trois derniers matchs, l’écart n’a jamais été supérieur à 7 points entre Boulogne-Levallois et ses adversaires. Des courtes défaites donc, mais des défaites quand même. Il va falloir que Vincent Collet reste positif et conquérant dans son discours pour ne pas s’abonner à ces défaites encourageantes.
Jules Mermier