Corbeil-Essonnes mixe Savate et kick boxing

ASCE Boxe Française de Corbeil-Essonnes

Le samedi 11 juin (dès 19h), l’ASCE Boxe Française de Corbeil-Essonnes organise l’événement Corbeil Fight Event3, réunissant Savate boxe française et kick boxing/K1. Plus d’infos avec Stéphanie Bazin, responsable technique du club.

Quel va être le programme de ce Corbeil Fight Event3 ?

Au total, il y aura douze combats lors de cette soirée. En Savate boxe française, il y aura six combats, avec des combattants bien connus comme Damien Fabregas, Adam El Ouardi, Fanny Serena ou Samira Bounhar. Concernant le kick boxing, il y aura quatre combats classe B, deux combats Classe A et un combat professionnel. Ce dernier est le Main Event de la soirée. Il oppose Alexis Nicolas un champion du monde de Savate à Madické Kamara, champion d’Europe ISKA de K1.

Pourquoi avoir voulu réunir les deux disciplines lors d’une même soirée ?

C’était essentiel pour nous. Il faut savoir que ça n’a jamais été fait. Il est important de montrer au public de kick-boxing que la Savate boxe française, ce n’est pas de la danse. Réciproquement, il faut montrer à la Savate que le kick-boxing est une belle discipline à regarder. Les deux sports sont complémentaires et pas concurrents.

Des animations sont-elles au programme ?

Il y a un show qui va être animé par une association de breakdance : Street Mile entertainment. Il y aura ainsi des démonstrations réalisées par les enfants du club. Avoir des animations est important, car on attend entre 700 et 1000 personnes au Palais des Sports.

Cet événement est-il appelé à être renouvelé ?

C’est la troisième édition que nous organisons, mais c’est la première fois que nous réunissons les deux sports. Si ça se passe bien, nous aurons envie de renouveler ce type d’événement. Après, il faut savoir que ça représente pas mal de dépenses pour le club, même si nous avons des aides. Cela représente un an de préparation pour l’organisation, constituée de bénévoles. La dynamique du club est aujourd’hui assez positive, avec 190 licenciés et de plus en plus de pratiquants loisirs. Mais on fonctionne toujours grâce au bénévolat. Pour l’événement, nous avons la chance d’avoir le soutien des collectivités, des deux fédérations et de sponsors privés.

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