Pour démarrer la nouvelle année, les Aiglons se déplacent chez le Stade Rennais (21h). Un vrai défi pour l’attaque niçoise, la moins prolifique de Ligue 1.
Dès le début de l’année 2023, la Ligue 1 reprend ses droits. Pour l’OGC Nice, le nouvel an est fêté du côté de la Bretagne. En guise de reprise, le Gym affronte ce lundi soir (21h), le Stade Rennais. Avec un candidat sérieux à l’Europe, les Aiglons attaquent d’entrée avec un gros morceau. Le début d’année s’annonce chargé, avec la confrontation face au Puy-en-Velay en Coupe de France ce week-end et les 1/8e de finale de Ligue Europa Conférence à l’horizon, en mars. En attendant, Nice veut continuer sa série d’invincibilité, portée à 8 matchs après le nul à Lens (0-0).
Une défense de fer
Cette longue période sans le moindre revers, toutes compétitions confondues (à l’exception des matchs amicaux de l’hiver), témoigne de la solidité et de la cohérence du collectif azuréen. Derrière, la charnière centrale composée de Jean-Clair Todibo et Dante a fait ses preuves. Mattia Viti, Hicham Boudaoui ou encore Pablo Rosario composent une arrière-garde efficace et rassurante pour Kasper Schmeichel. Avec seulement 17 buts encaissés, le Gym, 10e de Ligue 1 s’affirme comme la 4e défense ex-aequo du championnat.
Retrouver de l’efficacité offensive
Ainsi, du côté de la défense, tout roule pour les hommes de Lucien Favre. En revanche, du point de vue offensif, il y a plus de travail. Auteurs de seulement 15 buts en Ligue 1, les attaquants niçois comptent le pire total parmi l’élite. Encore malade et avec des envies de départ, le meilleur buteur du Gym, Andy Delort, est absent. Ce qui ne devrait pas aider ses compères à l’avant, Nicolas Pépé et Gaëtan Laborde. Ce dernier retrouve son ancien club, après avoir fait le chemin inverse d’Amine Gouiri. L’ancien Aiglon (6 buts cette saison) a trouvé sa place au Stade Rennais, dans une attaque prolifique aux côtés de Martin Terrier (8 réalisations) et Arnaud Kalimuendo (3).