Football : Un autre footballeur au Musée Grévin

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Après Zinédine Zidane, Cristiano Ronaldo, Lionel Messi et Kylian Mbappé, Antoine Griezmann devient le cinquième footballeur à être honoré au Musée Grévin. Sa statue sera visible dès le 7 mars.

Antoine Griezmann va être honoré lors du mois de mars au Musée Grévin. Après Zinédine Zidane, Cristiano Ronaldo, Lionel Messi et Kylian Mbappé, le joueur de l’Atlético Madrid disposera lui aussi de sa statue de cire à partir de la semaine prochaine. Son entrée dans le mythique établissement était censée avoir lieu en 2020. Elle a été retardée par le Covid-19  puis par la Coupe du Monde au Qatar. Cette fois-ci sera enfin la bonne.

« Sa performance, menée avec brio, a été de nouveau plus que saluée. Il devient alors le meilleur passeur décisif de l’histoire de l’équipe de France, dépassant Thierry Henry. Autant dire qu’un joueur émérite d’un tel niveau, a plus qu’amplement sa place à Grévin, aux côtés d’illustres autres joueurs et sportifs. Au-delà d’être un joueur d’exception, Antoine Griezmann est une belle personne », explique le musée Grévin dans son communiqué.

Six mois de création de la sculpture

Le meilleur passeur de l’histoire des Bleus (27) portera le maillot frappé du coq. Cependant, le mystère reste entier sur la coupe de cheveux choisie, lui qui a l’habitude de changer régulièrement de style de coiffure, dont certains originaux et colorés, comme en ce moment où il arbore du rose.

« Six mois ont été nécessaires pour créer le personnage d’Antoine Griezmann, qui a pris un grand plaisir à participer à chaque étape de la création auprès des équipes des ateliers Grévin et du sculpteur Stéphane Barret. Pendant son premier rendez-vous, qui avait alors lieu en février 2020 à Barcelone, à l’aube de la pandémie, il s’est prêté au jeu des photos, vidéos, captures d’images en 3D, mesures du visage et du corps et moulage des mains. Un second rendez-vous a confronté par visio le modèle et le modelage en terre glaise. Enfin, les derniers détails tels que la coiffure et le maquillage du visage ont été vérifiés », précise encore le Musée Grévin.

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