Le mois de novembre s’annonce intense à négocier pour le PSG entre le championnat et la qualification pour les 8es de finale de Ligue des Champions.
Ce vendredi, le PSG s’apprête à jouer son premier match du mois de novembre contre Montpellier. Cette rencontre peut permettre aux Parisiens de retrouver provisoirement le fauteuil de leader. En l’état, les hommes de Luis Enrique sont 2es, à un point de Nice, toujours invaincu en Ligue 1. Paris reste, de son côté, sur quatre victoires d’affilée toutes compétitions confondues.
« On est dans un processus d’apprentissage, a tenu à rappeler Luis Enrique en conférence de presse hier. L’équipe fait beaucoup de choses très bien, mais nous sommes toujours dans une phase initiale. Nous sommes encore en train d’analyser quels sont les joueurs qui s’entendent le mieux. Mais comme je l’ai déjà dit, nous avons un très bon effectif avec des joueurs de qualités à toutes les lignes. »
Un mois de novembre intense
Le club de la capitale s’apprête à négocier un mois de novembre intense. Celui-ci démarre par la réception du MHSC dès ce vendredi. Il se poursuivra quatre jours plus tard avec un déplacement périlleux à Milan pour la 4e journée de Ligue des Champions. Le 11 novembre, Paris voyagera de nouveau, mais cette fois à Reims avant la dernière trêve internationale de 2023. Après la coupure, les Parisiens recevront l’AS Monaco pour un choc du haut de tableau. Le mois de novembre se conclura avec la réception de Newcastle pour l’avant-dernière journée de C1.
Concernant la philosophie de jeu, l’ancien sélectionneur de la Roja a une idée derrière la tête. « Nous sommes dans un processus d’évolution continue, a recontextualisé Luis Enrique. Nous voulons un Paris Saint-Germain imprévisible pour l’adversaire mais pas pour nous. C’est un processus complexe, qui demande du temps. Nous pouvons ainsi jouer dans plusieurs systèmes de jeu. Mon idée et celle de mon staff, je le répète, c’est d’avoir une infinité de solutions en attaque pour pouvoir être difficile à lire pour l’adversaire. Mais pour ça, nous avons besoin de diversité, pour ne pas être une équipe facile à défendre. »