Les joueuses du Nantes Métropole Futsal ont remporté la Ligue des champions, à domicile, en dominant le Futsal Marguerittois (5-4) en finale. Chez les hommes, c’est L’USR Futsal qui s’impose.
Quoi de mieux qu’un triomphe à domicile ? C’est ce qu’on connu les joueuses du Nantes Métropole Futsal, à l’occasion de la Ligue des champions disputée à domicile. C’est au coeur du complexe neuf du CREPS des Pays de la Loire que les meilleurs joueuses européennes avaient rendez-vous. Les locales ont réalisé un parcours parfait, avant une finale extrêmement tendue face au Futsal Marguerittois. Au bout du suspense, ce sont les Nantaises qui l’emportent d’un but (5-4) et soulèvent le précieux trophée. Sur le podium, le NMF devance donc le Futsal Marguerittois, mais aussi le Barcelona Futsal Beats. Chez les hommes, la compétition a été remportée par l’USR Futsal, qui a dominé le Picasso FC en finale (10-2). Là aussi, le club catalan hérite de la troisième place.
Le futsal en plein développement
Une organisation réussie pour une discipline en plein développement. Même si le secteur féminin demeure en retrait par rapport au futsal masculin, les licenciés sont de plus en plus nombreux. L’atout principal pour attirer les plus jeunes est la double-licence. Garçons comme filles peuvent ainsi pratiquer le futsal en plus du football. Pour attirer les regards sur le futsal féminin, une compétition comme cette Champions League est un véritable atout. Les différentes équipes féminines ont pu s’affronter dans un écrin idéal pour accueillir des spectateurs.
Le CREPS des Pays de la Loire au coeur de l’événement
Le complexe du CREPS des Pays de la Loire est apparu comme une enceinte idéale pour accueillir les compétitions de futsal. Un complexe que le Nantes Métropole Futsal connaît bien, puisqu’il l’utilise tout au long de l’année lors des entraînements. Le club nantais bénéficie ainsi d’un équipement de pointe, avec notamment un système vidéo afin d’analyser les séances en temps réel. Le type d’atout qui permet aux Nantaises de siéger aujourd’hui sur le toit de l’Europe.