Gazon béni avec Eurofield

Eurofield

Créée en 2006, Eurofield est une entreprise française spécialisée dans la fabrication de gazons synthétiques. Avec une usine implantée dans les Hauts-de-France, Eurofield mise sur le « made in France » pour se distinguer et continuer à se développer.

Synthétique ou naturel ? Du côté d’Eurofield, cela fait quinze ans que cette question a été tranchée. « Eurofield est fabricant de gazons synthétiques  » made in France « . Nous produisons principalement à destination des activités sportives », explique Olivier Colin, responsable commercial Grand Ouest d’Eurofield. « La majorité des réalisations sont des terrains de grands jeux pour la pratique du football et du rugby. À la marge, nous faisons aussi un peu de baseball et de hockey sur gazon. Nous avons également une activité sportive sur les courts de tennis, les courts de padel, les terrains multisports et les terrains de foot à 5. » Une diversité qui permet aujourd’hui à Eurofield de couvrir « l’intégralité du territoire français », confirme Olivier Colin. « On travaille d’ailleurs principalement sur la France métropolitaine, mais nous avons récemment eu l’opportunité de travailler en Guadeloupe et en Guyane. Nous faisons également quelques incursions à l’étranger, notamment en Ukraine et en Afrique du Nord. »

Eurofield

« Nos réalisations sont nos meilleures cartes de visite »

Avec une usine implantée au cœur des Hauts-de-France, mise sur la proximité pour répondre aux attentes des collectivités. « Aujourd’hui, les collectivités veulent surtout optimiser les temps d’utilisation de leurs terrains. Un terrain naturel est prévu pour 250 heures d’utilisation à l’année pour un budget d’entretien entre 20 000 et 30 000 euros. Un synthétique, c’est en moyenne 1400 heures d’utilisation à l’année pour un budget d’entretien qui est moindre », détaille Olivier Colin. « Le plus important pour nous aujourd’hui, c’est d’être à l’écoute des projets des communes. Il faut comprendre leurs besoins pour y répondre au mieux et ainsi les accompagner de la meilleure manière possible concernant leurs besoins en qualité de gazons et de remplissage. On essaye d’être au plus proche de nos clients et d’être à leur écoute. Nos réalisations sont nos meilleures cartes de visite. » Parmi ces réalisations, nombreuses s’appuient sur le gazon synthétique Landscaping, qui représente 20% du chiffre d’affaires d’Eurofield.

« On touche également le très haut niveau »

Des réalisations qui évoluent selon les attentes des collectivités et des pratiquants. « La crise sanitaire a révélé que certains terrains multisports ont été pris d’assaut. Dès lors que les gens ont pu sortir de chez eux, ils étaient désireux de retrouver une activité physique et sportive. Nous avons eu beaucoup de témoignages de communes dont les terrains multisports ont rencontré un succès important », révèle Olivier Colin, qui précise qu’Eurofield est de plus en plus présent sur ce secteur des terrains multisports, mais pas seulement. « On touche également le très haut niveau. Tous les clubs professionnels, que ce soit en football ou en rugby, s’entraînent sur du synthétique. Pour les terrains de matches, le football a plutôt arrêté les terrains de ce type, mais en revanche, on les retrouve de plus en plus en rugby. Eurofield a ainsi eu l’occasion de réaliser les terrains de clubs qui évoluent en Top 14 et en Pro D2, je pense par exemple à Brive et à Agen. » Pour l’entreprise française, les opportunités de développement sont réelles puisque le sport s’apprête à devenir un véritable enjeu de société. « Avec Paris 2024, mais aussi la Coupe du monde de rugby en 2023, nous espérons qu’il y aura une incidence », confirme Olivier Colin. « Des annonces ont été faites, notamment sur l’accompagnement financier du développement de la construction de certains équipements. Forcément, pour nous, c’est une très bonne nouvelle. » Déjà très présent sur le territoire, Eurofield n’a donc pas fini de convertir de plus en plus de communes au synthétique.

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