Grappling : La France reste au sommet

Commission Nationale Sportive de Grappling

L’équipe de France de Grappling a décroché dix médailles à l’occasion des championnats d’Europe disputés à Bucarest (Roumanie).

Alors que les championnats du monde de lutte U23 battent leur plein à Bucarest, la capitale roumaine a également vécu au rythme du Grappling. Une discipline dans laquelle la France fait partie des meilleures nations mondiales. Un rang confirmé sur la scène européenne, avec pas moins de dix médailles décrochées par les athlètes tricolores.

Il est le leader de cette équipe de France, il l’a confirmé en Roumanie : Anthony De Oliveira est de nouveau en or. Le Tricolore s’impose en NOGI dans la catégorie des 66kg. Cerise sur le gâteau, il décroche également le bronze en GI. Chez les 77kg, le festival était français. Djabrail Djabrailov s’empare de l’argent en NOGI et en GI, tandis que Pierre Manzo hérite du bronze dans les deux styles.

Alycia Quenee double médaillée

Mourad Benghoune, en plus de 100kg, a su mener une belle compétition pour hériter de la médaille de bronze en NOGI. Les féminines ne sont pas en reste : Lina Grosset devient vice-championne d’Europe en NOGI chez les 58kg, tandis qu’Alycia Quenee décroche l’argent en 71kg en GI, mais aussi en NOGI.

Pour l’équipe de France de Grappling, il s’agit d’une progression. En effet, huit médailles avait été décrochées lors des derniers championnats d’Europe. Lors des derniers Mondiaux, en octobre 2022, la France s’était affirmée comme la meilleure nation mondiale dans cette discipline affiliée à la Fédération Française de Lutte.

Avec une jeune génération qui pousse au portillon et qui brille dans les différentes compétitions U17 et U20, le Grappling tricolore a de beaux jours devant lui. Désormais, l’équipe de France se projette sur les prochains rendez-vous, à commencer par les championnats du monde en GI et NOGI. Une compétition pour laquelle la France entend conserver son statut de nation dominante.

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