Gymnastique : Des Mondiaux pour le Parkour

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Du 14 au 16 octobre, Tokyo (Japon) accueille les tout premiers championnats du monde de Parkour. La France est représentée.

Enfin ! Initialement prévus en mars 2020 à Hiroshima, les championnats du monde de Parkour ont été repoussés trois fois en raison de la pandémie mondiale. Comme de nombreuses disciplines, le Parkour a donc pris son mal en patience. Plus de deux ans plus tard, le feu vert est donné : ce sport va pouvoir avoir droit à ses premiers championnats du monde. Cette première édition tant attendue accueille une centaine d’athlètes à travers le monde. Les meilleurs traceurs internationaux sont présents pour se disputer les différents titres.

Originaire de la rue, le Parkour peut se résumer à l’art de se rendre d’un point à un autre en respectant un principe clé : l’efficacité et la fluidité. Il existe deux catégories : la vitesse et le style libre. Dans l’épreuve de vitesse, les athlètes doivent surmonter les obstacles le plus rapidement possible pour atteindre la ligne d’arrivée le plus rapidement possible. Dans l’épreuve de Freestyle, les athlètes utilisent les obstacles pour montrer leur style et leur créativité pendant que leur performance technique est jugée.

Deux tricolores en lice sur cette première édition

La zone du Parkour est parsemée d’une variété de blocs, de murs et de barres conçus pour refléter les différents obstacles rencontrés dans les zones urbaines. Pour les surmonter, les athlètes doivent utiliser une gamme de techniques, comme le saut de chat (cat leap), le saut de bras (arm jump), le saut de fond (drop jump) et le wall run (passe-muraille).

Côté tricolore, les deux gymnastes français de l’équipe de France de Parkour, Lilou Ruel (Marseille PK13) et Johan Tonnoir (Club Sportif Municipal du Pecq), tenteront de se qualifier pour les finales. Ces dernières auront lieu samedi et dimanche à travers deux types d’épreuves : le speed et le freestyle.

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