Judo : 5 raisons de suivre la Judo Pro League

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Après une édition 2023 remportée par le Judo Nice Métropole, la Judo Pro League reprend ses droits le mardi 8 octobre avec 14 équipes au rendez-vous.

Un format revisité

Cette année, 14 équipes se disputeront le titre de champion de France par équipes mixtes. Ce sont ainsi trois nouvelles équipes qui viennent s’ajouter aux équipes déjà engagées la saison dernière. Chaque équipe jouera 4 rencontres, 2 à domicile et 2 à l’extérieur, contre des adversaires déterminés par le tirage au sort. Lors des phases éliminatoires, une victoire compte pour 3 points, un match nul pour 1 point, et une défaite pour 0 point. Sur une rencontre, une équipe pourra compter un point de bonus si elle cumule 5 ippons ou plus sur celle-ci. À l’issue de toutes les rencontres, les huit équipes les mieux classées se qualifieront pour le tableau final.

Plus de suspense

La promesse de la Fédération Française de Judo, à l’initiative de l’événement, est claire : plus de suspense. Lors de cette troisième édition de la Judo Pro League, il y a en effet plus de rencontres, et donc plus d’occasions pour certaines équipes ambitieuses de venir bousculer la hiérarchie établie.

Nice peut-il remettre ça ?

C’est avec une équipe 100% niçoise que le Judo Nice Métropole se présente pour défendre son titre. L’année passée, les judokas et judokates venus des Alpes-Maritimes avaient impressionné en allant jusqu’au bout de leur rêve. Cette fois, ils savent qu’ils seront beaucoup plus attendus. Notamment par leur premier adversaire : l’OM Judo, pour un choc Nice-Marseille qui s’annonce disputé.

L’Île-de-France en force

Asnières, Sainte-Geneviève, Flam 91 et JC Chilly Mazarin Morangis : sur 14 équipes dans cette Judo Pro League, quatre représentent le judo francilien. Premier club de France avec ses 1 400 adhérents, l’AM Asnières Judo 92 est sans doute le plus ambitieux. Porte-étendard des Hauts-de-Seine, il s’était qualifié pour le Final Four l’année passée. Club formateur, Asnières regorge de pépites prêtes à se révéler.

Et les stars dans tout ça ?

Vous l’aurez compris : pas de PSG Judo dans cette Judo Pro League… et donc pas de Teddy Riner, ni de Romane Dicko. Licenciée au Red Star Club de Champigny-sur-Marne, Clarisse Agbegnenou n’est pas non plus de la partie. En revanche, au sein du JC Chilly Mazarin Morangis, on retrouve Joan-Benjamin Gaba, héros des derniers Jeux Olympiques. Après l’or, faire triompher son club en Judo Pro League serait une sacrée cerise sur le gâteau.

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