La FF Sports pour Tous œuvre pour l’inclusion sociale

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L’inclusion sociale par le sport fait partie des grandes priorités développées par la Fédération Française Sports pour Tous.

Véritable vecteur de lien social, le sport prouve, chaque jour, son utilité pour permettre une meilleure inclusion. Cet enjeu de société a toujours été privilégié par la Fédération Française Sports pour Tous, dont les clubs affiliés voient dans le sport un outil de santé, de bien-être, d’inclusion, de lien social, d’éducation… En matière d’inclusion sociale par le sport, les objectifs principaux sont la remobilisation par l’activité physique adaptée, l’accompagnement vers une activité régulière et, enfin, la possibilité de devenir acteur des projets associatifs pour (re)trouver une place dans la société.

Pour les projets d’inclusion sociale par le sport, après l’enjeu d’accessibilité, l’objectif est de permettre aux pratiquants de retrouver un lien social. Le sport ne se cantonne pas à la pratique d’une activité, mais permet également de se mettre en relation avec les autres et de se (re)construire. Une dynamique qui trouve un écho particulier au cœur des territoires.

Des actions concrètes au coeur des territoires

En Pays de la Loire, l’idée est d’allier les bénéfices de la pratique du vélo à l’utilité de ce dernier. À savoir, se déplacer grâce à ce moyen de transport accessible, pratique et peu coûteux. L’apprentissage du vélo permet, notamment, de se rendre à un travail, à des rendez-vous médicaux, de voir du monde. En effet, ce public, souvent isolé, n’a pas les moyens de posséder un véhicule et se prive, ainsi, de tout lien avec l’extérieur, ce qui entraîne un sentiment d’isolement.

Autre exemple : en Centre-Val de Loire, en lien avec les associations de femmes victimes de violence, trois journées sont organisées autour de l’activité physique sous différentes formes (sport de pleine nature, renforcement musculaire, pilates, yoga) pour permettre aux femmes de faire sortir des émotions par le corps, utiliser le sport comme un outil de thérapie. Ces séjours doivent leur permettre de retrouver de l’estime de soi, un sentiment de sécurité et d’émancipation.

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