La Fédération Française d’Aviron et la Fédération Française de Voile ont signé une convention dans le cadre du projet « Nautic Santé 360° ».
A l’occasion du Salon Nautic, dédié aux sports nautiques, la Fédération Française d’Aviron et la Fédération Française de Voile ont décidé d’avancer (ou de naviguer, au choix) ensemble. Les deux fédérations, très souvent voisines sur le terrain, ont par le passé mené des actions communes, notamment dans le cadre de formations pluridisciplinaires. Les deux fédérations ont signé une convention autour du projet « Nautic Santé 360° ». L’objectif de ce dernier est d’engager une démarche de réflexion autour d’un module d’activité prenant en considération les logiques d’autonomie, de pratique et de sport-santé-bien-être.
Deux fédérations axées sur le sport santé
Le projet « Nautic Santé 360° » vise à créer un module « sport santé » au sein des bases nautiques. Il combine les bénéfices des deux disciplines en termes de sport-santé et prend en considération des tendances fortes du sport d’aujourd’hui : autonomie et liberté de pratique, matérialisation du parcours et des progrès obtenus et digitalisation des outils. Le tout autour d’atouts communs comme l’activité nautique de pleine nature, l’activité en équipage permettant la mixité et pratique en individuel et le développement de l’équilibre et de la coordination.
Développer les pratiques
« Cette convention signifie d’abord une intention dans des actions communes à mener, sur des bases nautiques où la Fédération Française de Voile est plus implantée que nous, sur les littoraux et de nombreux plans d’eau », détaille Christian Vandenberghe, président de la Fédération Française d’Aviron. « C’est la réunion de deux grands amis, présidents de fédérations, d’un côté Jean-Luc Denechau et moi-même. Nous nous connaissons depuis longtemps et nous savions qu’il serait important d’unir nos forces, comme nous le faisons lors de ce Salon Nautic avec également le ski-nautique et le canoë-kayak. Nous avons tout intérêt à mutualiser nos forces pour diminuer ainsi nos faiblesses. Il y a beaucoup de choses à réaliser en commun pour développer nos deux pratiques et cette convention signée aujourd’hui en est le symbole. »