Après le running, le tennis ou encore le fitness et les sports de forme, l’UNION sport & cycle s’intéresse aux licenciés de la FF Badminton. Avec bientôt 200 000 licenciés, en croissance ininterrompue depuis la création de sa fédération, le badminton a tout d’une pratique sportive nouvelle génération…
Cette étude fait apparaitre que le badminton est perçu comme une pratique conviviale et de loisirs. Il répond à des aspirations fortes et actuelles de détente (88 %) et d’amusement (88 %) dans une ambiance de club. Cette recette séduit tout particulièrement le public féminin et les jeunes actifs. Le badminton est devenu le plus féminin des sports de raquette avec 36 % de licenciées (29 % pour le tennis). Près de la moitié d’entre elles déclarent pratiquer depuis moins de 2 ans ! Quant aux jeunes actifs âgés de 25 à 39 ans, ils représentent aujourd’hui un tiers des licenciés. Le club reste leur lieu de pratique privilégié – voir exclusif pour 60 % d’entre eux.
Une des raisons du succès du badminton est aussi à chercher du côté de son mode de communication. Face à la faible exposition médiatique du bad, l’internet – pour les 24 à 45 – et les réseaux sociaux – pour les plus jeunes – sont devenus les principaux catalyseurs de la « communauté badiste ». Ils recherchent en priorité des informations sur le matériel et l’actualité de leur club. De quoi ouvrir de larges possibilités pour la fédération, les clubs et les équipementiers.
Enfin, l’accessibilité du badminton n’est certainement pas étrangère au dynamisme de la pratique. Avec un panier moyen annuel de 185 € par licencié, le coût d’équipement s’avère relativement modéré (presque 100 € de moins que pour le tennis). Pourtant, l’étude de l’UNION sport & cycle révèle de vrais potentiels en matière d’équipement à l’image de : la raquette connectée, qui intéresse 3 pratiquants sur 4 et du textile technique, encore trop rarement porté (40 % des licenciés).
La rédaction
Le problème du badminton en France, c’est sa fédération : un ramassis de bras cassés et de petits bureaucrates pétochards, incompétents et sans aucune idée… C’est pourtant un sport magnifique…
ça fait plaisir de voir que Lin Dan s’intéresse au développement du Bad en France!