Le CROS Île-de-France brise la glace dans le Val-d’Oise

Crédit photo ; CROS Ile-de-France

Les 21 et 22 octobre, le Comité Régional Olympique et Sportif Île-de-France organisait deux matinées d’action à la patinoire de Garges-lès-Gonesse dans le cadre du Sport’En Glace.

Plus que jamais, après les Jeux Olympiques et Paralympiques, le sport doit être accessible pour la jeunesse. C’est dans cette optique que le Comité Régional Olympique et Sportif Île-de-France agit. Le CROS met ainsi en place les événements « Sport’En ». Ces derniers permettent à des jeunes valides et des jeunes en situation de handicap de pratiquer ensemble diverses activités sportives et de découvrir des pratiques.

C’était le cas les 21 et 22 octobre, du côté de la patinoire de Garges-lès-Gonesse, avec une édition de Sport’En Glace. Deux matinées ont été mises en place par les équipes du CROS Île-de-France. Les jeunes participants ont pu bénéficier d’initiation aux patins à glace, mais aussi d’initiations à la boxe. Pour l’occasion, la Ligue Île-de-France des sports de glace et le Comité départemental de boxe avaient fait le déplacement. De son côté, le CROS Île-de-France proposait un atelier Sport-Santé et Olympisme.

« Accueillir ces jeunes, c’est fédérer et partager du sport »

Présidente du CROS Île-de-France, Evelyne Ciriegi était d’ailleurs présente lors de cet événement. Tout comme des partenaires fidèles du CROS dans les actions mises en place : le président du CDOS Val-d’Oise Pierre Gregoire, la trésorière de la Ligue Île-de-France des sports de glace Brigitte Gaspar, la vice-présidente de la DRAJES Île-de-France Alexandra Noël, la présidente du Comité Départemental 92 des sports de glace Pierrette Abravanel, ainsi que la présidente du club de Garges-lès-Gonesse.

Présidente de la Commission Sport’En au sein du CROS, en charge de l’événement, Yanik Chevalier était aussi de la partie. « Chaque Sport’En est organisé de manière à œuvrer avec tous les acteurs qui ont la fibre sport à la transmission de valeurs qui sont aussi un héritage qu’on souhaite construire pour l’après JO 2024. Accueillir ces jeunes, c’est fédérer et partager du sport et des messages sociétaux qui permettent d’affirmer que le sport peut apporter un mieux-vivre au quotidien dans nos vies et sur nos territoires. »

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