Unipublic a présenté le samedi dernier 13 janvier le parcours officiel de la Vuelta 2018, qui se disputera du 25 août au 16 septembre. Le tour d’Espagne démarrera au Centre Pompidou, à Malaga, ce qui prouve bien l’enjeu de l’organisation d’associer sport, culture et départs innovants.
Le prologue inaugural sera un contre-la-montre individuel de 8 kilomètres qui donne un premier aperçu de la Vuelta dont la première semaine aura un air typiquement andalou. Après Malaga, le peloton visitera Grenade, Almería et Jaén, sans oublier le passage intermédiaire en Murcie, avant de mettre le cap vers le Nord. Castille-La Manche, Castille-et-León, Galice, Asturies, Cantabrie – qui accueillera un deuxième contre-la-montre de 33 km -, Pays basque, Aragon et Catalogne, seront les prochains arrêts avant d’attaquer le tronçon final de l’édition, avec un final très difficile dans deux des sommets les plus exigeants de la Principauté d’Andorre (le col de la Rabassa et le col de la Gallina). Le parcours prendra fin à Madrid,navec départ à Alcorcón et arrivée sur la place de Cybèle, en passant par le Paseo del Prado, dont le musée fête cette année son bicentenaire.
Javier Guillén, directeur de la Vuelta :
« Nous découvrons de nouvelles montées finales et nous voulons que la montagne redevienne la clé pour décider la Vuelta. Ce sont des marques d’identité qui nous ont permis de donner un nouvel élan à la course et nous allons les défendre ».
Les nouveautés se combineront avec quelques « classiques ». Le triptyque astur-léonais formé par La Camperona, Les Praeres de Nava et les Lacs de Covadonga mesurera les forces des aspirants au maillot rouge avec trois montées finales consécutives. Un trio avec deux vieilles connaissances et un nouvel arrivant qui marqueront un tournant dans la Vuelta 2018 : l’association de tradition et modernité sous tous leurs aspects.
La rédaction