Les 11 et 18 décembre, dix représentants des équipes de France de Savate boxe française seront en lice pour décrocher un titre mondial. Ils auront l’avantage d’évoluer à domicile lors de trois soirées exceptionnelles.
Pour la Savate Boxe française, c’est Noël avant l’heure. En guise de cadeau, dix finales mondiales vont avoir lieu sur le sol français lors de trois soirées exceptionnelles. « Le fait d’organiser ces finales en France permet de recréer une dynamique. Le rayonnement est local, mais aussi national, cela permet de remettre les acteurs des Ligues dans une démarche proactive. Organiser est un travail qui fédère de nombreux acteurs. Il est important que ces finales aient lieu, pendant longtemps nous n’étions pas sûrs que ce soit le cas. Il y a vraiment une culture de l’organisation de compétitions. Ceux qui se sont positionnés ont envie. Dans le contexte actuel, accueillir des délégations étrangères n’est pas facile, mais je n’ai aucun doute que ces organisations seront une réussite », explique Thierry Mardargent, directeur technique national de la Fédération Française de Savate et disciplines associées. C’est d’abord du côté de Gannat, le 11 décembre, que l’équipe de France tentera de bien débuter ce mois de décembre surchargé. Triple championne du monde, Mathilde Mignier tentera d’ajouter une nouvelle médaille d’or à sa collection, elle qui sera opposée à la Croate Lucija Regvat. Les féminines seront à l’honneur dans l’Allier puisque Sara Tebbakh et Audrey Guillaume, respectivement opposées à Chiara Vincis et Jelena Sedoglavic, seront également de la partie. Une soirée qui se conclura par le combat d’un local de l’étape. Licencié au club Punch Savate de Gannat, Christopher Brugiroux tentera de remporter un titre mondial à domicile. Pour cela, il devra se défaire du Mauricien Olivier Lafleur.
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