Lutte : Heidi Amri à la découverte du beach wrestling

La Fédération française de lutte organise la deuxième édition des Championnats de France de beach wrestling samedi prochain à Balaruc-les-Bains (Hérault). Heidi Amri, l’un des participants, livrent ses impressions.

 

Quel est votre parcours dans la lutte ?

J’ai commencé la lutte à six ans. J’ai pratiqué pendant trois ans à haut niveau au Pôle espoir de Font Romeu et j’ai été vice-champion de France cadet. Je suis maintenant en catégorie juniors et je suis revenu m’entraîner au club de Sète, où j’ai toujours été licencié. Je combats habituellement en 60 kg en lutte libre et en lutte gréco-romaine, mais je participerai dans la catégorie 70 kg pour les Championnats de France de beach wrestling.

Qu’est-ce qui vous motive à participer à ce championnat de France de beach wrestling ?

Mon entraîneur, qui organise l’événement, m’a demandé si je voulais participer et j’ai accepté. Je n’ai jamais lutté dans le sable, ça sera une première. C’est une invitation à sortir de la salle et de participer à un moment convivial. Je serais dans la catégorie 70 kg, car ce sont mes premiers pas dans cette discipline et je n’ai pas envie de faire de régime.

Plus de renseignements > www.fflutte.com

Connaissez-vous les différences du beach wrestling par rapport à la lutte libre et la lutte gréco-romaine ?

Un combat dure moins longtemps et le premier lutteur à atteindre trois points a gagné. Dans la pratique de la lutte libre en elle-même, la seule différence c’est le sable et l’absence de tapis. Je m’entraîne dans ce sport en salle depuis que je suis tout petit, ça reste toujours la même discipline.

Quels sont vos objectifs ?

Comme c’est une première pour moi, je ne vise pas le titre d’emblée, mais au moins le podium. On verra ce que font mes concurrents.

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Propos recueillis par Leslie Mucret

 

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