Du 28 au 31 octobre, l’équipe de France de lutte a rendez-vous à Tirana (Albanie) pour les championnats du monde seniors. Des Mondiaux qui concernent les catégories non-olympiques, mais qui demeurent une belle occasion de rebondir après des Jeux ratés.
Cap sur Tirana pour effacer le souvenir de Paris 2024. Peu brillante durant l’été, l’équipe de France mise sur l’automne pour se refaire la cerise. Du 28 au 31 octobre, la capitale albanaise accueille des championnats du monde qui concernent exclusivement les catégories non-olympiques. Pour la France, c’est une belle occasion de regoûter aux joies des podiums internationaux.
Lors de l’édition précédente, Ibrahim Ghanem devenait le quatrième champion du monde français en Lutte Gréco-romaine. Un exploit que le lutteur de Schiltigheim va tenter de renouveler. Il fait partie des favoris chez les 72kg. Stefan Clement, l’autre représentant tricolore en Gréco-romaine, va tenter de tirer son épingle du jeu chez les 63kg.
Doublé historique pour Ibrahim Ghanem ?
En lutte libre, les ambitions sont également au rendez-vous. Notamment avec la présence de Zelimkhan Khadjiev. Chez les 79kg, le lutteur de Bagnolet a une revanche à prendre. Il y a cinq ans, il décrochait le bronze lors des Mondiaux, avant un contrôle positif et une disqualification. Cinq ans plus tard, le Tricolore veut reprendre le fil de son histoire. Toujours en lutte libre, Arman Eloyan (61kg) a également une carte à jouer.
Enfin, comme souvent, la lutte féminine est la catégorie la plus représentée côté français. Elles sont trois lutteuses à avoir manqué de peu la qualification pour les Jeux. Et forcément à vouloir bien terminer cette année 2024. Très régulière, Pauline Lecarpentier (72kg) sera une nouvelle fois candidate à la médaille. Sans oublier Tatiana Debien (55kg) et Kendra Dacher (65kg), qui tenteront de briller au cœur de catégories relevées.