Ce dimanche 24 octobre, le titre de champion de France du marathon sera adjugé à l’arrivée du Marathon Vert Rennes Konica Minolta. Plusieurs concurrents peuvent prétendre au sacre.
Densité et suspens. Voilà les maîtres-mots du plateau de qualité engagé sur ce Marathon de Rennes. Une semaine après le marathon de Paris, c’est autour du titre de champion de France d’être décerné. Les championnats de l’élite de l’Hexagone font leur retour à Rennes, après le sacre national décerné il y a six ans dans la capitale d’Ille-et-Vilaine. Cette année, plusieurs concurrents parmi les 1800 participants sont dans le course à la victoire.
Un plateau au niveau serré
Yohann Durand, premier tricolore du Marathon de Paris en 2h09’21 et champion de France du semi-marahon cette année, n’est pas en lice sur la course. Parmi les noms qui ressortent le plus, on retrouve d’abord Mathieu Brulet, déjà auréolé du titre national 2018 à Albi mais aussi du 10 000m en 2019. A 34 ans, il est un sérieux candidat. Agé de dix ans de plus que lui, le vétéran Jean-Damascène Habarurema est aussi une menac. L’Angevin né au Rwanda a un record à 2h15’13. Des noms comme Caro, Urruty, Sicot, ou encore Couzinier seront à surveiller.
Le Vigouroux en local de l’étape ?
La course faisant aussi office de Championnats de Bretagne, le Vannetais Florian Le Vigouroux rêve de faire d’une pierre deux coups. Le Morbihannais connaît bien le parcours à Rennes, puisqu’il y a remporté ses titres de champion régional en 2018 et 2019. A travers la ville et la campagne rennaise, la course promet du beau spectacle. A cela il faut rajouter la dimension engagée du Marathon Vert Konica Minolta, un arbre sera planté pour chaque kilomètre parcouru, soit autour du million.