Nanterre 92 équipé par Kappa

Kappa et Nanterre 92 dévoilent les tenues que les Nanterriens porteront pour cette nouvelle saison 2019-2020. Pour fêter ce nouveau partenariat, les deux entités ont souhaité créer des tenues uniques, mettant en avant les différents aspects de la ville de Nanterre.

Le home kit « classic » est une tenue blanche qui sera utilisée lors des matchs à domicile, arbore un motif inspiré directement de l’arche de La Défense, un des éléments phare de la ville de Nanterre. Ce motif, travaillé à la verticale, est présent sur tous les flancs de la tenue. Ce maillot CLASSIC est complété d’un short blanc et sera utilisé quelques fois seulement, lors des matchs de gala.
 
Le away kit « city édition » est une tenue verte qui sera utilisée lors des matchs à l’extérieur, arbore un motif graff créé par l’artiste nanterrien MESH. Ce graff, élaboré spécialement par l’artiste pour ce nouveau maillot, mélange plusieurs éléments. On y retrouve les valeurs que véhicule le club et le basket en général à savoir l’Histoire, le partage, la solidarité… mais aussi les lieux iconiques de la ville comme la cité Picasso, La Défense, la mairie de Nanterre… Ce motif, travaillé à la verticale en ton sur ton, est présent sur les flancs du maillot et en all over sur le short, vert également.
 
Les maillots ont été créés en collaboration avec Antonin «Mesh» Soilihi Rogé, graffeur. « Né à Nanterre, j’ai toujours travaillé ma pratique du graffiti et le graphisme en parallèle, l’un se nourrissant toujours de l’autre. Aujourd’hui, je mets le graphisme de côté afin de faire plus d’illustrations, de lettrages et surtout de graffiti. J’anime également des ateliers en graffiti pour les jeunes nanterriens et je suis professeur d’arts plastiques au collège. Le délire pour ce maillot est de mettre en image l’univers très visuel du basket nanterrien. Par du lettrage, avec le lexique propre au basket, mais aussi en dessin en représentant la ville de Nanterre. Le tout enrobé de l’univers codifié du graffiti. Faire se mêler graffiti et basket était presque une évidence. »
 

Olivier Navarranne
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