A Aix, c’est fini pour les légendes Quintais-Suchaud, mais aussi pour Loy-Grandet, Montoro-Puccinelli-Jackel ou encore le co-leader Laurent Dumont !
Des barrages sans pitiés… A Aix-en-Provence, déjà une flopée de favoris a pris la porte de cette Grande Finale Passion Pétanque Française. Après une phase de groupe déjà difficile, les barrages ont fait tomber la guillotine. Plusieurs cadors sont déjà forcés de quitter le Complexe du Val de l’Arc…
Le leader déjà éliminé
Premier du classement PPF dressé au cours de l’année, Ludovic Montoro pouvait nourrir des ambitions à Aix. D’autant plus avec, en guise de partenaires, son acolyte Jean-Michel Puccinelli et son coéquipier niçois Basil Jackel. Mais le groupe de la mort est passé par là… Une défaite d’entrée face à Rocher – Rizzi – Delahaye, puis un revers décisif face aux emblématiques Phi-Phi, Quitais et Suchaud… Fin de parcours prématurée pour le leader.
Quintais Suchaud cèdent face à Madagascar !
Dès la partie suivante, les légende Quintais – Suchaud tombent à leur tour ! Avec un Philippe Pietri pas dans le coup dans ces barrages, le trio de Philippe cède face à Madagascar. En face, le vice-champion du monde Christian Andriantseheno et les siens livrent un jeu efficace et offensif, à la malgache.
Pour la deuxième équipe de la Grande Île, la phase de poule pliée est en deux parties. La formation menée par « Zigle », le champion du monde de tir de précision rejoint sans tarder les quarts de finale. Après une première victoire face à Santini (13-11), les joueurs de la Grande Île valident leur qualif’ face à Monros (13-6).
Le co-leader aussi prend la porte, Lacroix passe
Ex-aequo avec Ludovic Montoro, Laurent Dumont aussi pouvait arriver ambitieux. Son parcours s’arrête en barrage, battu par Elie Winterstein, « Fafou » Cognard et Jean-Christophe Gimenez. Forcés de passer par les barrages, Henri Lacroix et ses camarades s’en sortent, face à la triplette du local Sissou Cantarell. Ils retrouveront en quarts un trio qui les a battus en poule… Jouffre-Rousseau-Sevilla, une triplette qui a pris son temps, avec deux longues, longues parties (2h30 pour la première). Mais deux victoires, et cap sur les quarts.