On fait le point après cette journée du samedi au Mondial Montpellier 3M. Au stade des 1/8e de finale, la plupart des têtes d’affiche sont au rendez-vous.
A Montpellier, la pétanque est en tête de gondole. A Odysséum, le Mondial Montpellier 3M attire les meilleurs joueurs du moment pour deux jours de compétitions. Ce samedi 20 juillet marquait le début des choses sérieuses, avec le début du concours triplettes. Du haut niveau sur la ligne de départ, et toujours du beau monde pour lancer la journée de dimanche.
Les favoris tiennent leur rang
Sous la chaleur montpelliéraine, les champions répondent aux attentes. A ce stade de la compétition, la plupart des favoris sont encore en course. Toujours avec la pancarte, Dylan Rocher, Diego Rizzi et Stéphane Robineau poursuivent. Pareil pour l’Equipe de France, même s’ils ont eu très, très chaud en barrages ! Mickaël Bonetto, Ludovic Montoro et Christophe Sarrio sont bien en huitièmes de finale. Concernant les joueurs également habitué au maillot bleu, Henri Lacroix et Ligan Doerr sont toujours là, accompagné de Laurent Matraglia. En revanche, pas de Marco Foyot, sorti en 32e de finale.
Madagascar en force
L’Equipe de la Boule Tropézienne aussi est de la partie. David Riviera, Michel Hatchadourian et Pierre Lucchesi ont franchi les obstacles. Même chose pour Matthieu Gasparini, Pierre Maurel ou encore Benji Renaud, toujours en lice avec leurs équipes respectives. Enfin, que serait un « Mondial » sans des équipes internationales ? La Suisse est bien au rendez-vous, avec la triplette du Champion du monde tête-à-tête Maïky Molinas. Madagascar compte encore deux équipes sur les seize en lice. De quoi marquer le coup pour leur retour en France cette saison.
De belles affiches chez les féminines
Du côté du tableau féminin, on connaît déjà les duels des 1/8e de finale. Récente lauréate de la Marseillaise féminine, Elodie Estève affronte la vainqueure précédente, Sabine Fara. Pour Cindy Peyrot, il faudra battre Colette Laget. Parmi les noms à surveiller en vue de la victoire à Montpellier, il faut évidemment citer Mouna Beji.