Rallycross : Cap sur la Mayenne pour les meilleurs français

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La septième épreuve du championnat de France de rallycross se dispute ce week-end du 16 et 17 septembre sur le circuit Maurice Forget en Mayenne. Les 129 pilotes engagés comptent bien engranger des points cruciaux. 

Après six épreuves disputées, la fin de saison du championnat de France de rallycross 2023 approche à grands pas. Si dans la plupart des catégories rien n’est encore joué, dans d’autres, certains pilotes pourraient être couronnés lors de l’épreuve mayennaise, qui se tient ces 16 et 17 septembre. Lot de bouleversement et suspens sont à prévoir sur le circuit Maurice Forget, à Châtillon-sur-Colmont.

Maintenant, plus tard ou jamais ? 

Le vice-champion d’Europe de rallycross 2013, Davy Jeanney, est le grand prétendant à la victoire chez les Supercar. Deuxième à Loheac derrière la légende Sébastien Loeb, le pilote de la Hyundai i20 WRX espère renouer avec la première place. Leader avec 45 points d’avance sur son dauphin, Samuel Peu, Davy Jeanney peut d’ores et déjà conquérir le titre ce week-end. Et ce, sept ans après avoir été absent dans la compétition.

Dans la catégorie Super 1600, Julien Meunier vise un cinquième succès d’affilée. La lutte reste néanmoins serrée avec Anthony Paillardon (Audi A1), deuxième à 18 points du pilote de la Skoda Fabia. En Division 3, seulement 26 points séparent Nicolas Beauclé (Mercedes Classe A) de Paul Cocaign (Renault Clio III). L’épreuve mayennaise représente beaucoup. En Division 4, le duel entre Tom Daunat (Peugeot 206+) et Anthony Mauduit (Renault Clio III) se poursuit.

Chez les Juniors, Marceau Launay est bien lancé pour finir premier à l’issue de la saison, avec ses 23 points d’avance même s’il faudra, pour ça, aucun faux pas. Chez les féminines, rien n’est encore joué. La leader, Mélanie Lefrançois n’a plus le droit à l’erreur. “C’est un week-end décisif pour le classement final et le titre, a commenté Amélie Moliexe, troisième au classement. Un trio de tête regroupé en 16 points, ça annonce encore une bataille intense”. Tout reste à faire : rien n’est encore écrit.

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