La 42e édition de l’Abalone Marathon de Nantes, prévue ce week-end des 20 et 21 avril, s’apprête à accueillir des milliers de coureurs. Quatre épreuves sont au programme.
Le record de participation de 2023, avec 17 240 coureurs, devrait être battu ce week-end. Ces 20 et 21 avril, ce sont 18 700 coureurs qui se sont inscrits sur l’une des quatre épreuves au programme de l’Abalone Marathon de Nantes. Cette 42e édition devrait battre ce record, démontrant une fois de plus que la course à pied à une grande place dans la Loire-Atlantique. Co-organisé par l’association Courir à Nantes et la société OC Sport Outdoor, l’événement est le cinquième marathon de France et la plus grande course de l’Ouest du pays.
Des records (im)battables sur le marathon ?
Comme l’an passé, l’Abalone Marathon de Nantes propose quatre courses pour satisfaire les objectifs de chacun et attirer le plus grand nombre de coureurs au départ des Nefs des Machines de l’île : le marathon, le marathon relais entreprise (par équipe de quatre coureurs), le semi-marathon et les Foulées de l’éléphant by Decathlon dans les rues nantaises.
Parmi les participants, on retrouve les athlètes du Squad Athleti, un mouvement d’athlètes ligériens qui met en avant les meilleurs coureurs de l’athlétisme en Pays de la Loire. La plupart sont des amateurs qui allient entraînements sportifs, vie professionnelle et vie de famille avec brio. Certains de ces athlètes se sont engagés sur les épreuves de l’Abalone Marathon de Nantes. C’est le cas de Mathias De Vernejoul (marathon), Léa Navarro (semi-marathon), Kevin Réthoré (10 km) et de Julie Lerat (10 km).
Même s’ils sont bien entrainés, ce ne sont pas eux qui joueront les avants postes du marathon, mais bien les athlètes élites. Sur cette 42e édition, trois Françaises seront à surveiller de près, à savoir Camille Chaigneau, Kristin Colard et Nathalie Vasseur. Chez les hommes, les Marocains Loussaine Oukhrid et Alaa Hriioued, le Kenyan Julius Cheruiyot Ngetich et le Français Julien Fournier sortent du lot. L’un d’eux et l’une d’elles parviendront-ils à battre les records, vieux de deux ans chez les femmes (2h32’49, Fathia Asmid) et de 24 ans chez les hommes (2h15’44, Pascal Fetizon) ?