Ce dimanche 26 février, le Club Athlétic Via Agrippa organise la 7e édition de la Via Agrippa à Saint-Auvent. Une course nature, l’une des premières du département de la Haute-Vienne, regroupant deux parcours, qui favorise le commerce de proximité.
“Tous les voyants sont au vert”. Les membres du Club Athlétic Via Agrippa sont prêts. La septième édition de la course nature Via Agrippa fait son retour ce dimanche 26 février à Saint-Auvent. “L’état d’esprit est positif, la météo est favorable”, commente le trésorier du club, Frédéric Besse. Deux distances et une randonnée sont au programme.
“Une succession de montées et de descentes fatigantes”
Depuis sa création, la Via Agrippa a bien grandi. “C’est un groupe de copains qui a voulu faire découvrir notre commune avec son site remarquable, Notre Dame de la Paix, une réplique de la grotte de Lourdes. À l’origine, une seule distance de 12 km et une randonnée étaient proposées”, raconte-t-il. Désormais, le trail de 20 km s’est ajouté. “Les courses traversent trois communes : Saint-Auvent, Saint Cyr et Cognac-la-Fôret. Ils passent sur le site Natura 2000 de l’étang de la Pouge”, précise le trésorier. Cette année, pas de nouveauté. “Juste une modification de parcours sur la 11 km, il y a un passage dans un bois qui le rallonge un peu”, développe-t-il. Les différents parcours enchaînent montées et descentes. “On est loin des trails de montagne mais la succession est usante et fatigante”, souligne-t-il. Les organisateurs espèrent accueillir plus de 228 participants, l’affluence de lors précédente édition. “On revoit régulièrement les mêmes têtes donc cela veut dire qu’on sait les accueillir et surtout, c’est le premier trail en Haute-Vienne en ce début de saison”, informe le trésorier. Damien Filleul, Mireille Tourissaud et Hélène Roussel sont les noms à suivre sur le 20 km.
Un événement promouvant la production locale
L’objectif de la course est de travailler avec des commerces de proximité et des producteurs locaux. “Toutes les récompenses sont achetées au maximum dans un rayon de 50 km, voire sur la commune directement. C’est une demande de la municipalité, tout le monde joue le jeu”. Un bon moyen de prouver que le sport est vecteur de lien social et économique.