Du 19 au 21 novembre, l’association La Vie en Rose sera présente à l’occasion du Salon des Maires et du Salon des Sports et Parasports. Sophie Le Doaré, coordinatrice de La Bonne Échappée au sein de l’association, souligne l’importance d’un tel rendez-vous.
Quels sont les atouts, pour l’association La Vie en Rose, d’une présence au Salon des Maires et Salon des Sports et Parasports ?
L’année dernière, nous avions été invitées par Patrick Appéré, adjoint aux Sports de la Ville de Brest et président de l’Association Nationale des Élus aux Sports (ANDES). Cela nous avait permis d’avoir un grand nombre de contacts et une visibilité importante pour notre association. Avant cela, nous avions déjà été remarquées par le Ministère des Sports, qui nous avait proposé d’être partenaire de la Grande Cause Nationale 2024. Pour une association comme La Vie en Rose, c’est un énorme plus d’aller dans ce genre de manifestation où on peut aller rencontrer des partenaires potentiels, ce qui avait été le cas avec SPORTMAG lors de la précédente édition. Nous attendons cette édition 2024 du Salon des Maires avec impatience pour nouer des relations et aller plus loin dans la pérennisation de notre action.
Quel bilan tirez-vous de l’édition 2024 de La Bonne Échappée, a-t-elle dépassé vos attentes ?
Plus on avance et plus on est convaincu d’être au bon endroit au bon moment. On sème des petites touches de motivation pour les jeunes. Nous avions tablé sur 600 jeunes lors de la première édition, puis 900 lors de la deuxième, et cette année 1250. Les professeurs d’EPS sont tous hyper motivés, le projet est à chaque fois très bien accueilli. Ils sont au cœur de l’éducation de nos enfants, c’est donc avec eux que l’on veut travailler, c’est primordial pour nous. De fait, à chaque fois, l’engouement dépasse nos attentes.
Avec, désormais, l’envie de découvrir de nouveaux territoires lors de l’édition 2025 de La Bonne Échappée ?
Le parcours sera révélé à l’occasion du Salon des Maires. Mais, en effet, jusqu’à maintenant, nous avons essayé de sillonner la France. Plus on touche de monde, mieux c’est. On souhaite que les villes dans lesquelles nous sommes déjà passés restent des ambassadrices. Nous avons d’ailleurs deux villes qui ont participé à La Bonne Échappée cette année et qui souhaitent monter des projets annexes. Ces projets ne feraient pas partie de notre parcours, mais s’inscriraient totalement dans la vision de La Vie en Rose, avec le label La Bonne Échappée. Pour nous, ce type d’initiative est une grande réussite, cela montre que ce que l’on fait arrive à faire tache d’huile.