Lors de la soirée à l’INSEP en l’honneur du Pacte de Performance mis en place par la Fondation du Sport Français, la médaillée d’argent par équipe aux Jeux Olympiques de Tokyo témoigne de son expérience.
Comment le pacte de Performance a-t-il pu vous aider en tant qu’athlète ?
J’ai réussi, il y a quelques mois, lors d’une soirée organisée par le Medef et la Fondation du Sport Français, à rencontrer une entreprise, iQo, qui m’a permis de signer un Pacte de Performance avec eux. C’est super d’organiser ce genre de soirée comme ce pacte dating, c’est une chance pour les sportifs parce que c’est vrai que ce n’est pas facile d’aller vers des entreprises, de trouver des entreprises qui sont intéressées. C’est bien plus facilitant pour nous, parce que ça nous permet de nous consacrer sur nos projets sportifs, de pouvoir s’entourer de professionnels comme des nutritionnistes, des préparateurs mentaux, etc.
Ce Pacte de Performance vous a-t-il permis de vous concentrer sur vos études ?
Après mes études de psychologie, j’ai complétement changé de cursus, je suis en bachelor de communication digitale. Mais c’est vrai qu’allier sport et études ce n’est pas facile, on a beaucoup moins de temps pour travailler, ou de trouver de l’argent en travaillant. Donc c’est important pour nous d’avoir ce genre de soutien de la part d’entreprises qui nous font confiance et nous accompagnent dans ce projet complexe.
C’est une année importante, comment se déroule votre parcours en vue de Paris 2024 ?
Ça va, on a bien commencé la qualification par équipes pour le moment. Mais on commence à peine la saison 2024, la première compétition aura lieu dans quelques semaines. Ce n’est que le début, ça va être un long chemin. Mais en tout cas, tout va bien pour moi, j’essaye de préparer au mieux cette échéance importante.