Sébastien Loeb : « Une belle bagarre »

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Sur son BRX – Bahrain Raid Xtrem, Sébastien Loeb participe pour la septième fois au Dakar. Deuxième l’année passée, le pilote de 48 ans et nonuple champion du monde des rallyes rêve de la gagne.

Enfin la bonne ? Le Dakar, Sébastien Loeb tourne autour depuis plusieurs années. En 2022, le nonuple champion du monde des rallyes n’a jamais été aussi proche du Graal. Une deuxième place qui laisse augurer de grandes ambitions pour cette édition 2023. Un début d’année qui marque la septième participation de l’Alsacien à l’épreuve. De la mer Rouge aux rivages du golfe arabique, le pilote français de 48 ans rêve du sacre.

« Il est difficile de donner un favori. Nous avons au moins trois marques qui peuvent rouler devant, des équipages complets dans chaque marque. Je pense que ça va être une belle bagarre. L’objectif, il est de gagner », assure le pilote Prodrive. « On ne se calque sur personne, ce sont des spéciales d’endurance qui peuvent aller jusqu’à 500 kilomètres, donc on ne peut se calquer sur personne. Il faut simplement essayer de faire sa course et de voir où ça nous mène. »

Nasser Al-Attiyah comme principal rival

Sur son BRX – Bahrain Raid Xtrem, Sébastien Loeb doit notamment faire face à la Toyota de Nasser Al-Attiyah, vainqueur du Dakar l’année passée. C’est face à lui que le Français avait buté en 2022. « Il avait manqué un petit quelque chose assez tôt dans le rallye. Un problème technique avait fait qu’on avait pris du retard. On a cravaché derrière avant de terminer deuxième. C’était pas mal, mais ça n’avait pas suffi. »

Sur cette édition 2023, l’Alsacien entend faire la différence, notamment à l’occasion de l’Empty Quarter : quatre jours consécutifs au cœur des dunes saoudiennes. « Rouler dans les dunes, ce sont des sensations extraordinaires. Je pense que ça va être difficile, ce sont de longues spéciales, on est obligé d’être concentré. En plus on ne va pas très vite dans les dunes, donc ça va faire de longues journées. Il ne va pas falloir faire d’erreurs, ça ne va pas être facile. » Mais c’est bien à ce prix-là que Sébastien Loeb peut inscrire (enfin) son nom au palmarès du Dakar.

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