Trophée des Villes : Bron sous la pression d’Arlanc après des parties exceptionnelles !

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Après deux parties en doublettes délirantes, terminée à 13-12, Arlanc met sous pression (2-0) le tenant du titre Bron, dans cette demi-finale.

Un suspens ahurissant, et le tenant du titre au pied du mur ! Au Trophée des Villes, les demi-finales sont en cours. Samedi soir marquait le coup d’envoi des deux confrontations, avec les doublettes. Pour commencer, Fréjus a pris un sérieux avantage face à Pau. Les Varois de Dylan Rocher mènent deux à zéro, au moment d’attaquer la triplette ce dimanche matin. Dans l’autre demi-finale, entre Arlanc et le tenant du titre de Bron, la dramaturgie est à son comble ! Christian Fazzino et les siens sont déjà au pied du mur.

Deux victoires 13-12 !

A l’issue des deux doublettes, c’est Arlanc, pourtant sans sa star Philippe Suchaud, qui mène deux à zéro. Cependant, il s’en est fallu d’un rien pour que le score soit inversé ! A l’issue de chacune des deux parties, le score affiche la plus petite des marges : 13 à 12 ! La première doublette est la plus folle : 3 heures de jeu, pour départager Jordan Scholl-Christian Fazzino et les jeunes Auvergnats Benoît Monros et William Dauphant. Ensuite, Fara N’Diaye et Christophe Sarrio tombent aussi, face à Antoine Cano et Cyril Begon. Sur le même score donc, 13 à 12, au bout de la nuit à Laon.

Bron condamné à l’exploit

Désormais, deux scénarios sont possibles dans cette demi-finale. En cas de victoire également dans la triplette, c’est évidemment Arlanc qui serait propulsé en finale. Pour Bron, le calcul est simple : il faut absolument gagner cette triplette. Si Christophe Sarrio et les siens s’imposent, les deux équipes seraient à égalité, la triplette valant deux points. Dans cette situation, place au tir de départage. L’exercice reprend les ateliers du tir de précision, avec les quatre éléments de l’équipe en action. Les canonniers de chaque côté sont mis à l’épreuve, dans un exercice indécis… Tenant du titre, Bron est sur le fil du rasoir. La faute à deux défaites d’un souffle…

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