Une Journée Olympique et Paralympique historique pour le CROS Île-de-France

Crédit photo : CROS Ile-de-France

Le 23 juin dernier, le Comité Régional Olympique et Sportif (CROS) Île-de-France a pris part à une Journée Olympique et Paralympique historique à l’approche des Jeux.

À l’approche du coup d’envoi des Jeux, les événements se multiplient. Parmi eux : la Journée Olympique et Paralympique. Mise en place sur l’ensemble du territoire le 23 juin dernier, elle était notamment très attendue en Île-de-France, terre d’accueil des Jeux Olympiques et Paralympiques. Tête de réseau du mouvement sportif francilien, le CROS Île-de-France était sur le pont à à cette occasion.

C’est sur le Terrain Multisport du Parc des Bords-de-Seine, à Rueil-Malmaison, que le CROS Île-de-France organisait cette Journée Olympique et Paralympique, accompagné de ses partenaires que sont la DRAJES, l’Agence nationale du Sport et la Région Île-de-France. Présidente du CROS Île-de-France, Evelyne Ciriegi était de la partie, tout comme Cécile Nicol, déléguée régionale académique à la jeunesse, à l’engagement et aux sports d’Île-de-France, et Jean Dimeo, président du Comité Départemental Olympique et Sportif (CDOS) 92.

Le CROS, tête de réseau du mouvement sportif francilien

Le mouvement sportif francilien était donc réuni dans son ensemble pour cette journée où le sport était à l’honneur. Les participants ont pris part à de nombreuses activités sportives proposées par les Ligues et Comités Régionaux. Cette Journée Olympique et Paralympique leur a également offert la possibilité de rencontrer des sportifs de haut niveau… sans oublier la pièce de théâtre « Boxing Shadows », conclusion parfaite de cette journée.

Du moins pour les participants, car pour le CROS Île-de-France, cette journée était également l’occasion d’inaugurer l’exposition consacrée à Pierre de Coubertin, organisée par l’Association familiale et la Mairie du 7ème arrondissement parisien. Pour cette inauguration, Evelyne Ciriegi était aux côtés de Thomas Bach, président du CIO, David Lappartient, président du CNOSF, ou encore de Rachida Dati, ministre de la Culture.

Quitter la version mobile