Volley : Le Paris Volley entame un nouveau championnat

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Concentré sur le tournoi qualificatif pour la Challenge Cup, le Paris Volley défie ce samedi (18h) à Charpy le Stade Poivetin.

Les compteurs sont remis à zéro. Après avoir terminé 9e de la phase régulière de Ligue A, le Paris Volley va désormais entamer le tournoi qualificatif pour la Challenge Cup. Ce mini-championnat, composé de six équipes, va voir les hommes de Dorian Rougeyron affronter le Stade Poivetin ce samedi (18h) à Charpy, l’antre des Franciliens. Ce challenge est idéal pour les jeunes du club, car ils pourront engranger un maximum d’expérience.

« Ce tournoi qualificatif pour la Challenge Cup est une superbe opportunité pour des jeunes comme Dimitri Renaud et Baptiste Focard qui ont montré de très bonnes choses. Killian Weidner, qui a largement le niveau pour jouer avec l’équipe première, l’a encore montré contre Cambrai. C’est super de pouvoir jouer avec eux. C’est une super énergie ! », s’exclame Kellian Paes, passeur du Paris Volley, dans une interview accordée au club sur Instagram.

Tout donner pour ramener les matchs de Coupe d’Europe à Charpy

Les Coupes d’Europe sont dans l’ADN du Paris Volley. Le pensionnaire de Ligue A a remporté la Ligue des Champions de la discipline en 2001. Un an plus tôt, les Franciliens avaient décroché la Supercoupe d’Europe grâce à leur succès en Coupe de la CEV, qu’ils ont de nouveau glané en 2014. Forcément, les joueurs ambitionnent de retrouver le parfum européen.

« J’ai envie, pourquoi pas, de jouer une Coupe d’Europe ici (à Charpy, ndlr.). On va tout donner comme d’habitude. Je suis fier de porter ce maillot du Paris Volley tous les week-ends car c’est un plaisir pour moi de jouer. Il y a encore des matchs qui vont venir et il faudra réaliser de bonnes performances. On travaille, on est patients. Je me concentre sur l’instant présent et ce que je peux faire. Je ferai tout pour aller chercher cette qualification pour les compétitions européennes », poursuit Kellian Paes sur les réseaux sociaux du club parisien. Lui et ses coéquipiers savent à quoi s’en tenir.

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