Le nouveau président de la LNV revient sur les nouveautés de l’exercice 2021-2022 sur le plan sportif, et sur toutes les améliorations structurelles qui ont été lancées. Sans oublier le volet de la diffusion vidéo du volley français.
Y a-t-il eu un petit pincement au coeur au moment de laisser la présidence du Tours VB ?
Oui, parce que l’investissement dans le sport, qu’il soit amateur ou professionnel, est d’abord un investissement de cœur. Les investissements dans les mondes amateur et professionnel ne sont pas rationnels, surtout si on parle de volley. On y arrivera un jour, mais ce n’est pas encore le cas. Il y avait de l’émotion, mais le président de la LNV peut encore avoir ses favoris en championnat quand même (rires). Sur les quatre dernières saisons, nous avons gagné avec le TVB des titres majeurs chaque année. Ce sont des moments de bonheur et d’adrénaline extraordinaires. En devenant président de la Ligue, je reste dans ma philosophie. C’est un sport que j’aime passionnément, et il y a vraiment besoin aujourd’hui d’une réforme en profondeur pour devenir un sport spectacle, comme le sont tous les grands sports professionnels. Il y a un gros travail à faire, et pour des raisons éthiques, je ne me voyais pas avoir la double casquette, parce que c’est toujours sujet à discussion, à juste titre.
Abonnez-vous pour lire cet article
SPORTMAG Club : Abonnement digital 1 an + plein d’avantages !